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INTERVIEW N3

L'INTERVIEW : SÉBASTIEN DURAND - JOUEUR N3

Peux-tu te présenter ?

Bonjour à tous, je m’appelle Sébastien DURAND-LEVEQUE, j’ai 27 ans et je joue au Stade Bordelais depuis maintenant deux ans, en tant qu’attaquant.

Comment as-tu débuté le football ?

J’ai commencé le football, comme beaucoup de jeunes, dans la cour d’école, avant de prendre ma première licence en club à l’âge de six ans.

Peux-tu nous raconter ton parcours footballistique ?

J’ai débuté au Bordeaux Étudiants Club, où j’ai joué de 6 à 13 ans, avant de rejoindre Villenave, où je suis resté jusqu’à mes 22 ans. Par la suite, j’ai évolué au SAM, puis à Arcachon, et je suis au Stade Bordelais depuis maintenant deux ans.

Comment se déroule ta vie en dehors du football ?

Dans la vie, je suis agent logistique pour le CHU de Bordeaux et papa d’un petit garçon qui a tout juste un mois.

Comment vis-tu ce premier mois en tant que papa ?

C’est que du bonheur, même si c’est vrai que les nuits sont plus courtes et donc le repos un peu moins optimal.

Comment arrives-tu à jongler entre ton rôle de papa et le football ?

C’est assez simple : la communication avec ma compagne est essentielle. C’est vraiment la clé.

Comment as-tu vécu la saison 2022-2023 avec Arcachon, où vous avez échoué de peu ?

Personnellement, j’ai pris beaucoup de plaisir, que ce soit sur le terrain ou en dehors. On a réalisé une très belle saison, mais Saint-Paul a commis moins d’erreurs que nous et a donc mérité sa montée à l’échelon supérieur.

Comment cela t’a-t-il forgé mentalement ?

Jouer aux côtés de nombreux joueurs expérimentés m’a fait grandir et surtout devenir plus rigoureux. J’en retire uniquement du positif.

Comment juges-tu ta saison actuelle ?

Ce n’est vraiment pas une bonne saison. Ma blessure à la cheville pendant la préparation m’a beaucoup handicapé et m’a fait prendre du retard. Le carton rouge contre Bayonne n’a clairement pas arrangé la situation. C’est très frustrant…

Comment abordes-tu le match de samedi face à Castanet ?

Le succès passera par le plaisir de jouer ensemble. Il faut qu’on joue libérés, sans peur de perdre le ballon. Le groupe a la qualité pour cela, et j’espère que ça nous réussira.

Aurélien WALAS

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