Maxime, comment se sont passés tes premières minutes en compétition sous le maillot du Stade Bordelais ?

Nous voulions gagner ce match inaugural. Mais nous sommes tombés sur une belle équipe de Blagnac qui avait plus faim que nous, qui était aussi plus agressive. Au final, le résultat nul est assez mérité car ça aurait pu basculer dans les deux sens. Pour ma part, je suis rentré en deuxième période et je me suis senti à l’aise même si je suis handicapé depuis plusieurs mois.

Que se passe-t-il ?

Je souffre depuis plusieurs mois de la cheville. J’ai été gêné par cette cheville du début à la fin de la prépa. C’est frustrant car ça fait un moment que ça traîne. Sur les conseils d’Antoine Vergès, je vais prendre désormais le temps de me soigner, sans doute me faire opérer et j’espère revenir à 100 % après la trêve hivernale.

Tu as choisi de rejoindre le Stade bordelais cet été. Quelles ont été tes motivations pour rejoindre le club ?

C’est quand même un très gros club de la région. SI on m’avait dit que je jouerai au Stade Bordelais voici deux-trois ans, je ne l’aurai pas cru. Mais ma bonne saison dernière aux Portes entre deux mers en N3 a peut être convaincu le staff. Antoine Vergès était déjà mon entraîneur là-bas l’an dernier, il me connait, je le connais. Tout était réuni pour que je vienne.

Et quelles sont tes premières impressions concernant le club ?

Sans manquer de respect à mes derniers clubs, je pense passer d’autres caps au Stade Bordelais avec des structures plus professionnalisées. C’est toujours enrichissant d’arriver dans un tel club surtout à mon âge. A 20 ans, j’ai encore beaucoup à apprendre. J’ai rapidement trouvé mes marques en ayant été très bien accueilli. Je suis très content et très chanceux de faire partie de ce groupe.